Et voilà le troisième épisode de « Si j’étais CP en salle 201 »! Bonne lecture.
Les petits pilotes du CP
Et voilà le troisième épisode de « Si j’étais CP en salle 201 »! Bonne lecture.
Les petits pilotes du CP
La salle 106 a visité le Musée des Beaux Arts dans le Palais des Rohan.
Les enfants ont travaillé sur cinq genres de peintures : le portrait, le paysage, la scène de genre, la peinture d’histoire, la nature morte.
Scène de genre
Une scène de genre est une peinture qui représente une action de tous les jours.
Par exemple une personne qui sort sa bufflonne d’une grotte, une petite fille qui joue avec un chien.
Rary, Titouan
La nature morte
La nature morte est une œuvre qui est une photographie ou une peinture. Elle représente un ensemble d’éléments inanimés comme des fruits, des fleurs, des vases ou des cadavres de gibier ou de poisson ou même des ustensiles (couteaux…).
L’artiste place les objets pour transmettre un message, une émotion.
Linda, Thibau, Silas
Peinture d’histoire
Une peinture d’histoire est une peinture qui représente une légende, une histoire de la Mythologie Grecque, une histoire de la bible ou une histoire connue (égyptienne, romaine, chrétienne..). Les détails de la peinture racontent l’histoire que l’on devine si on la connait.
La peinture d’histoire que l’on a étudiée est une peinture de Jacobo Vignali. Pour faire ce tableau il s’est inspiré d’une légende de la mythologie grecque. Le personnage de ce tableau s’appelle Cyparissus et il est couché sur un cerf qu’il a tué. Il est couché sur le cerf parce qu’il s’est rendu compte qu’il a tué son ami.
Leyla, Pauline, Ali
Le paysage
Le paysage représente une forêt, une cascade, une montagne, une ville, une plage, des maisons, des bateaux sur la mer, un chantier, un port…
Cela peut être un très bel endroit mais aussi un endroit effrayant.
Jasmine, Sofia
Portrait classique
Un portrait est une peinture qui représente quelqu’un : un roi, une reine, un noble, un chanteur(se), quelqu’un qui à un rôle important dans l’histoire ou non, un pauvre…
Mais la chose la plus importante dans le portrait est de représenter la réalité très précisément.
Kenza, Margaux, Timothée
Aujourd’hui les élèves de CM1 de M.Haessig ont été confrontés à un dilemme, celui de Thomas qui est au CE2, qui a avoué à ses copains qu’il croyait au Père Noël.
Toujours à la manière de l’album « Si j’étais », les CP de la salle 201 se sont imaginés en personnages de contes. Voici leurs productions!
Lundi 7 décembre, les élèves de la salle 106 ont assisté au concert « La boite à joujoux… » de Claude Debussy avec Deniela Tsekova au piano et Francis Corpart en récitant.
Ce qui m’a étonné dans ce concert, c’est…
Qu’il y avait des images (Kenza)
La vitesse des doigts de la pianiste Daniela qui touchaient les touches dans tous les sens, il faut beaucoup d’entrainement ! (Yanis, Albin, Leyla, Haroun, Margaux)
La pianiste car je joue du piano et les morceaux étaient très difficiles (Leyla)
Qu’on dirait que la pianiste écrasait des cafards avec ses doigts ! (Jasmine)
Que des jouets se réveillent ! (Silas)
Que c’est bizarre de voir des jouets vivants ! (Maïssa)
La drôle d’histoire et que certains personnages ne servaient à rien (Timothée)
Qu’il n’y avait pas que du piano mais aussi quelqu’un qui racontait l’histoire (Rary, Pauline)
La forme du visage des poupées (Alicia)
La tête du gardien qui voit les poupées danser en ronde (Abel)
Qu’il y avait un tigre mais qui n’attaquait personne (Majid)
Ce qui m’a plu, c’est…
L’histoire que le monsieur racontait car elle était intéressante et belle (Jasmine, Thibau, Rary, Maïssa, Abel, Albin, Haroun)
Que la pianiste jouait très bien, très vite, c’était magnifique (Dounia, Kenza, Silas, Sofia, Timothée)
La musique (Alicia, Rary, Linda)
Le monsieur qui racontait l’histoire car il était marrant (Yanis)
Quand il y avait la guerre entre les personnages (Ali)
Ce que j’ai moins aimé, c’est…
Quand le monsieur qui racontait l’histoire criait (Silas)
Que le monsieur qui racontait le faisait pendant la musique (Timothée)
Que le monsieur qui racontait faisait des pauses (Majid)
Les images qui n’étaient pas à mon gout (Haroun)
La guerre entre les polichinelles et les soldats (Titouan)
Qu’un soldat meurt (Abel)
Quand la poupée et le soldat se sont embrassés (Ali)
La longueur du concert, trop long (Jasmine, Albin, Pauline)
Le public car beaucoup de gens parlaient et empêchaient de bien entendre le piano (Rary, Maïssa, Leyla, Margaux)
La personne derrière moi qui donnait des coups dans le siège (Yanis)
L’histoire :
« Des poupées dansaient : un soldat vit l’une d’elles et en devint amoureux : mais la poupée avait déjà donné son cœur à un polichinelle paresseux, frivole et querelleur. Alors les soldats et les polichinelles se livrèrent une grande bataille au cours de laquelle le pauvre petit soldat de bois fut fâcheusement blessé. Délaissée par le vilain polichinelle, la poupée recueillit le soldat, le soigna et l’aima : ils se marièrent, furent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Le polichinelle frivole devint garde-champêtre. Et la vie continua dans la boîte à joujoux. » André Hell
Nous avons visité une maison rurale d’Outre forêt. Une journée vraiment bien remplie avec une pause pique nique à midi !
Dans cette maison, on nous a montré comment vivaient les gens autrefois.
Nous, les CE1 de Mme Feuillard et les CE1 CE2 de Mme Fendenheim, avons été accueillis par Monsieur Petit et Flora Klein dans les coulisses de l’Opéra National du Rhin de Strasbourg ! Quel bâtiment impressionnant dans le décor de la Place Broglie !
Le jeudi 8 octobre, nous sommes allés sur la colline d’Oberhausbergen avec la classe de CP de Mme Guerrini. Nous avons eu de la chance avec la météo !
Tout d’abord, nous avons fait une chasse au trésor…. plein de petits trésors d’automne….des noix, du raisin, et même…des pommes de terre !
SORTIE AU FLAMS
Dans le cadre de la « semaine du goût », le restaurant le Flams nous a invités pour nous enseigner l’histoire de la tarte flambée.
Une histoire qui date… du Moyen-Age, il y a des centaines et des centaines d’années ! Figurez-vous que si aujourd’hui, on va au restaurant pour déguster de la tarte flambée, eh bien à l’époque, c’était le « plat du pauvre » car il était fait avec les restes de la semaine !
Nous nous sommes d’abord équipés : chapeau, gants…. comme de vrais chefs cuistots !