Une migration inattendue par Kamel, Diarra et Alisahin

 

Au Congo, dans la ville de Brazzaville naquirent deux jumeaux.

Peu de temps après leur naissance, leur mère décéda à cause de la guerre et leur père partit au combat.

Encore bébés, ils se retrouvèrent livrés à eux-mêmes.

Ils furent recueillis par deux familles d’accueil différentes en Italie, les deux frères furent donc séparés.

Vingt ans plus tard, ils reçurent une lettre anonyme qui racontait que leur père était mort.

A la fin de la lettre, il était mentionné une adresse et une date à laquelle les deux frères devaient se retrouver.

En lisant cette lettre, ils furent à la fois tristes d’avoir perdu leur père mais se réconfortèrent à l’idée qu’ils allaient enfin se revoir.

La date de la rencontre arriva enfin mais ils durent se rendre dans une ville qui était à environ 1200 km de chez eux : Strasbourg.

Ils passèrent par Milan, par Bâle en Suisse puis par Mulhouse pour arriver enfin à Strasbourg.

Il était 19h50, quelques minutes avant l’heure du rendez-vous, l’un d’eux était arrivé en avance, il attendait donc devant l’adresse indiquée sur la lettre, c’était une grande et belle maison.

Il aperçut, au loin, un homme qui lui ressemblait étrangement, ils se regardèrent pendant plusieurs secondes avant de réaliser qu’ils étaient frères et qu’ils s’étaient enfin retrouvés après ces nombreuses années éloignés l’un de l’autre.

Après de longues retrouvailles, ils décidèrent de sonner à cette mystérieuse maison, un vieil homme ouvrit la porte et reconnut ses fils à l’instant où il les vit.

L’auteur de la lettre resta inconnu, ce qui n’empêchât pas le bonheur de cette famille à nouveau réunie.

Illustrations : Imrane, Kenzo et Enza

Rencontre avec le CASAS pour notre Odyssée Citoyenne

RENCONTRE :

  1. Qui est Anne Marquis ?

Anne Marquis est une bénévole qui travaille à l’association CASAS.

  1. Qu’est-ce que le CASAS ?

Le CASAS est une association qui aide les migrants à qui l’OFPRA a refusé l’asile. Le CASAS aide les demandeurs d’asile à faire un recours et à prouver que ce qu’ils ont dit à la CNDA est vrai.

CASAS : Collectif pour l’Accueil des Solliciteurs d’Asile de Strasbourg.

DÉFINITIONS

  • Qu’est-ce qu’un migrant ? Un migrant est une personne qui a quitté son pays pour s’installer dans un autre.

 

  • Qu’est-ce qu’un demandeur d’asile ou un réfugié ? Un demandeur d’asile est un migrant qui a été obligé de quitter son pays et qui demande un refuge. On peut donc distinguer les deux :   le demandeur d’asile est en cours de procédure, mais le réfugié a suivi toute la procédure et obtenu une réponse favorable, il bénéficie donc du droit de rester en France et de la protection de la France.

 

  • Qu’est-ce qu’un clandestin ? C’est une personne qui n’a pas de titre de transport, qui voyage caché, qui traverse les frontières entre les pays illégalement. Plus généralement, un clandestin est une personne qui n’a pas les documents administratifs (papiers en règle, visa, titre de séjour) pour se trouver dans un pays.

 

  • Qu’est-ce qu’un passeur ? C’est une personne qui fait « passer » les frontières illégalement et souvent contre de l’argent.

 

  • Qu’est-ce qu’un refuge ou un « asile » ? Un « refuge » est un endroit où on peut être à l’abri des dangers, où l’on peut être en sécurité. On dit « terre d’asile » pour une terre, un pays où on peut être sauf.

 

  • Qu’est-ce qu’un « mineur isolé » ? C’est un mineur (un enfant, moins de 18 ans) qui migre seul, sans sa famille.

 

  • Qu’est-ce que « regroupement familial » ? Quand un migrant est déjà installé et fait venir sa famille.

 

  • Quels sont les 5 motifs réputés « valables » pour fuir son pays et demander l’asile ?

Le statut de réfugié est octroyé à une personne qui est persécutée ou a risque de l’être dans son pays pour des raisons liées à :

  1. La race : l’origine, la couleur de peau, la langue, l’ethnie
  2. La nationalité : exemple d’un pays comme le Kosovo où les Serbes sont en minorité et sont parfois persécutés
  3. La religion : la croyance dans un pays où on n’a pas la liberté de religion
  4. Le groupe social : si on est une femme où les femmes n’ont pas de liberté (conduire, choisir son mari…), si on est homosexuel dans un pays où on n’est pas libre de choisir qui on peut aimer
  5. L’appartenance politique : si les opinions sont différentes, si on défend un parti politique de l’opposition, si on écrit un article de journal…
  6. On peut aussi fuir la guerre ou vouloir se faire soigner. En tous les cas, on ne migre jamais pour des « petits problèmes », on quitte tout.

DÉMARCHE ADMINISTRATIVE

Qu’est-ce que l’OFPRA ?

  • Office Français de Protection des Réfugiés et des Apatrides.
  • C’est auprès de l’OFPRA que les demandeurs d’asile font la première demande en expliquant pourquoi ils ont quitté leur pays ainsi que les circonstances. Une seule chance mais ils peuvent préparer leur dossier avec un travailleur social. L’OFPRA est à Paris. C’est un officier qui te pose des questions pour savoir si tu mens ou si tu dis la vérité.

Quand l’OFPRA dit OUI :

  • Une fois que l’OFPRA a décidé que le demandeur d’asile peut rester en France, il faut qu’il aille à la préfecture, pour demander un titre de séjour (d’une durée décidée avant par l’OFPRA de 2 ans ou 10 ans). Le but est de leur permettre de trouver du travail et de rester en France. A la préfecture, l’administration vérifie le dossier pour savoir d’où viennent les migrants, où ils veulent aller. Ils prennent aussi les empreintes digitales, pour prouver leur identité.
  • Le pays d’origine du migrant compte, car certains pays sont considérés comme des « pays sûrs » sans risque.
  • Les pays sûrs ? Albanie, Sénégal, Kosovo, Géorgie, Arménie, Bénin, Bosnie-Herzégovine, Cap-Vert, Ghana, Inde, ARYM (Ancienne République Yougoslave de Macédoine), Maurice, Moldavie, Mongolie, Montenegro, Sénégal, Serbie
  • Le Liban est le pays où il y a le plus de réfugiés par rapport au nombre d’habitants.
  • Quand ils arrivent à l’OFPRA, il y a un traducteur qui nous permet de raconter ce qui s’est passé dans notre pays, pourquoi on l’a quitté. 

    Qu’est-ce que la CNDA ?

Quand l’OFPRA dit NON :

  • En cas de rejet de la demande par l’OFPRA, la personne peut introduire un recours devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA).
  • Si le droit d’asile est refusé, il faut aller à la CNDA pour faire un recours, pour avoir une deuxième chance.

QUAND LA CNDA dit NON :

  • Un deuxième refus entraine une expulsion (OQTF : obligation de quitter le territoire français). Le refus peut entraîner une OQTF, mais pas forcément une expulsion…
  • Que signifie « être débouté » ? C’est avoir obtenu une réponse négative à sa demande d’asile.
  • Il n’y a plus qu’à aller à la Préfecture pour demander un titre de séjour provisoire
  • La Cour nationale du Droit d’Asile : Prise en charge de migrants à l’échelle européenne : chaque pays instruit seul les demandes d’asile dont il est responsable, mais le droit obtenu ou refusé s’applique ensuite dans les autres pays européens.

EN CHIFFRES

  • A l’OFPRA, si 100 personnes qui sont demandeurs d’asile, il y a 24 qui ont une réponse affirmative.
  • Et sur les 76 qui vont à la CNDA, il y en a 10 qui auront une réponse positive. Les autres seront déboutés et risquent d’être expulsés.

L’aide pour préparer le dossier CNDA (le recours) est plutôt faite par une des associations comme le CASAS

RÔLE DU CASAS

  • Qui sont les gens qui travaillent au CASAS ? Des bénévoles, dont certains sont d’anciens demandeurs d’asile qui peuvent être des traducteurs par exemple. Il y a 300 bénévoles, dont 100 bénévoles traducteurs.
  • De qui s’occupe le CASAS ? Des personnes à qui l’OFPRA a refusé le titre de séjour, c’est-à-dire qu’ils sont déboutés et qui ne sont pas hébergées dans un CADA.

LEUR PARCOURS DU COMBATTANT

  • Pourquoi les demandeurs d’asile n’ont-ils plus rien quand ils arrivent ? Ils ont tout quitté, en emportant l’essentiel (vêtements, téléphone, de quoi manger, ses papiers, de l’argent si on en a). Le voyage a couté de l’argent, le transport, les « passeurs »

 

  • Pourquoi les migrants sont-ils parfois SDF ? Les migrants n’ont souvent plus d’argent. Ils doivent demander un hébergement parce que le nombre de places dans les Centre d’Accueil pour Demandeurs d’Asile est trop limité.

 

  • Où dorment les demandeurs d’asile ? Soit à la rue, soit dans des camps, soit dans un centre d’accueil (CADA), soit chez des connaissances, soit dans leur voiture. Ils peuvent appeler le 115 pour demander un hébergement temporaire. Les associations peuvent leur donner des tentes pour qu’ils puissent avoir un abri et être en groupe plus en sécurité. Dans les centres d’accueil, ils peuvent dormir, se faire à manger dans une cuisine, faire leur lessive.

 

  • Comment les demandeurs d’asile se nourrissent-ils ? Il y a des associations comme les Resto du Cœur, les Sept pains, les Frigos Solidaires qui distribuent de la nourriture. L’état leur donne de l’argent mais cela ne suffit pas, de plus, ils ne peuvent pas vraiment travailler. Ils n’ont pas le droit de travailler, c’est la loi en France.
  • Que font les enfants ? Ils vont à l’école, ils ont le droit d’y aller parce que l’école est obligatoire en France pour les enfants à partir de 6 ans. Si un enfant est né en France, (l’acquisition de la nationalité française n’est pas automatique, elle peut se faire à la majorité et dans certaines conditions, ou si les parents deviennent français), ce n’est pas une raison suffisante pour que toute la famille reste. La mère va rester en France, mais il y aura des auditions pour le reste de la famille. Si un parent obtient une protection, son conjoint et les enfants mineurs peuvent rester en France, ils sont régularisés.

 

  • Comment font-ils s’ils sont malades ? Il y a des numéros d’urgence et dans les associations il y a des médecins, et ils ont le plus souvent accès à l’hôpital et aux médecins grâce à la CMU (Couverture Maladie Universelle) ou AME (Aide médicale d’Etat) selon leur situation administrative.

 

La finale du Concours de dessin 2018 2019

Roulement de tambour : au tableau en salle des maîtres « les finalistes » retenus et retenues par les Conseils de classe :

   

Ces dernières semaines, chaque classe a eu la mission de sélectionner par un vote deux finalistes parmi une dizaine de dessins proposés :

Mardi 07 mai, le Conseil des élèves doit faire le choix définitif des deux gagnants pour le cartonnage photo et le carnet de liaison.

Le choix est difficile… Le bureau de vote s’organise avec des scrutateurs, un dépouillement et un comptage des voix !

Les dessins 6 (23 voix sur 66) et 7 (12 voix sur 66) gagnent haut la main !

Les gagnants sont des gagnantes de CM2 !

Sofia et Amel salle 102 pour l’oeuvre collective N°7 et Elina salle 104 avec le N°6 !

Elles nous laisseront ainsi un bon souvenir et les plus jeunes pourront retenter leur chance dans les prochaines années 😉

Travail des délégués 2018/2019

Vous trouverez ci-joint le compte rendu des réunions des délégués.

A l’ordre du jour cette année :

  • personnalisation du carton photo de l’année 2018 2019 avec des dessins d’enfants
  • actions solidarité et environnement

  • personnalisation du carnet de correspondance 2019 2020 avec dessins d’enfants, astuces et règles d’or
  • décisions concernant les malles de jeux à mettre en place cour des grands et du roulement au foot cour des petits

   Roulement pour le foot – arbitrage

  • idées et bilans des différents projets de l’année : soirées jeux, projet écrans, fête d’école…
  • consultation des conseils : vote flashmob, rythmes de l’école, don à des associations solidaires, actions pour sauver la planète (bouchons piles…), stand artisanal…

Le dernier conseil aura lieu le 07/05 avec des décisions importantes à prendre pour finaliser nos projets et notamment désigner les deux lauréats du grand concours de dessins de l’année !

CR Conseil des élèves N°1

CR Conseil des élèves N°2

CR Conseil des élèves N3

CR Conseil des élèves N4

CR Conseil des élèves N5

 

 

Soirée jeux déguisée du 8 mars…

… ou l’importance de jouer ensemble en délaissant pour deux heures les écrans…

La soirée jeux a été un vrai moment de convivialité et de partage… où on a pris la pause… ou la pose 😉

Un grand merci pour tous les bons gâteaux sur les coups du « quatre heures » et aux parents qui ont tenu la buvette ou l’ont préparée !

   

J’ai croisé d’étranges créatures dans les couloirs de l’école… exotiques, animalesques, héroïques, terrifiants, magnifiques…

      

Nous pouvons nous permettre ce temps fort grâce à une super équipe de maîtres du jeu…Daniel toujours fidèle au poste, l’équipe de l’AFL, du CSC, les enseignants mais aussi les anciens de l’école (Mme Rodicq, M.Wagner, Mme Hoff, M.Coletta, Mme Hartheiser, Mme Denizot, Mme Bertal, Zuleyha… venus prêter main forte ou juste nous saluer !) et nos acolytes de toujours (Agnès, Chantal, Pascal)

Mais aussi grâce aux parents qui jouent le jeu et comprennent l’importance de cette manifestation et nous soutiennent ! Une soirée en famille avec les frères et sœurs, les mamans, taties, grands-parents, oncles et tantes mais surtout de plus en plus de papas !

     

     

Nous y retrouvons avec plaisir les « anciens » qui reviennent à l’école :

    

Les salles sont bien pleines…

      

A chaque soirée jeux, pour éviter la lassitude, on introduit un nouveau jeu ! Cette année, Mindo ou Can’t Stop une histoire de Rois de la Montagne et de frénésie du jeu…

Mais cela n’empêche ni la concentration, ni la patience, ni la réflexion…

On se lance des défis :

Certains ont la victoire facile…

La défaite est parfois rude…

 

Mais on assume….

et surtout on vous dit : « à la prochaine !! »

 

Un petit événement annuel fort sympathique !

A eu lieu la Tournée des CP !

Merci à nos élèves musiciens d’avoir joué le jeu : petite prestation de nos élèves HAM devant les 4 classes de CP. Une petite sélection pour qu’un maximum d’instruments soient présentés aux plus petits de l’école par nos musiciens les plus expérimentés… ou pas 😉 !

Le public a été fort attentif, admiratif, souriant et parfois bouche bée !

Un premier groupe avec un tout jeune clarinettiste Gabin, Charline violoniste et Marie hautboïste !

Un second groupe avec Fred le papa de Léonille à la trompette, Louis le contrebassiste, Louméo le guitariste et Mohamed le percussionniste !

Un troisième groupe avec Chloé et Thiziri à la flûte traversière, Meïssa à la flûte à bec et Mathilde et Jahid, les deux saxophonistes qui avaient bien rôdé leur mise en scène ! Ils ont même fait chanter leur public ravi 😉 Kenzo, quant à lui, est pianiste (ce qu’il fallait deviner !) et est venu les soutenir dans leur présentation !

   

Le quatrième groupe comprenait une jeune accordéoniste, Havin, ainsi qu’Eloi au cor et deux violoncellistes, Taha et Emilie !

Bravo à nos musiciens, « amuse-bouche » des Portes Ouvertes du Conservatoire ! Nous espérons qu’ils auront fait quelques émules ! Et merci au trompettiste pour sa disponibilité et sa bonne humeur !

 

Mais où sont passés les bonshommes de neige ?

Alors ce matin, les enfants, grands et petits, ont apprécié la blancheur de la  cour de récréation ! Du côté des grands, ils se sont affairés, en binômes, par équipes, tout sourire… mais ils ont eu beau gratter le sol, pas de bonhomme…

    

Les plus jeunes dans la cour des petits ont œuvré tous ensemble…

…et peut-être ont-ils eu raison ! Car ont montré le bout de leur nez deux bonshommes de neige dont un petit « bonhomme de neige fantôme » 😉

Bravo pour ces réalisations et cette coopération et vivement les prochains flocons pour relever un nouveau défi !

Météo à suivre…

Planétarium

En novembre les CM1 et CM2 accompagnés de leurs camarades de l’ULIS ont eu droit aux animations du Planétarium mobile ! Une journée avec la tête dans les nuages et des étoiles pleins les yeux mais plus sérieusement, l’étude des planètes de notre système solaire !

Soirée jeux du 14 décembre !

Malgré le froid et l’ambiance un peu morose, nous avons décidé que cela nous ferait du bien à tous, et surtout aux enfants, de nous retrouver pour un bon moment dans une ambiance de Noël. Un beau sapin décoré par l’Ulis, des chants de Noël diffusés par la sono de Monsieur Michenot, de traditionnels Menele et du chocolat chaud et tous les jeux étaient de la partie !

Baesties, Bataille navale, Bazar bizarre, Blokus, Chabyrinthe, Chromino, Court de tennis, Crôa, Dames, Alquerque , Dames Chinoises, Dobble, Eurêka, Jeu d’échecs, Katamino, La course des tortues, Mon 1er Carcassonne, Pentago, Pickomino, Pingouins, Puissance 4, Quoridor, Rolit Junior, Rush Hours, Seega, Set, Six qui prend, Tangoes, Tangram, Triomino…

et quelques nouveautés comme les Mindo et Camelot !

Une vraie liste de Père Noël pour la culture du jeu 🙂

Des salles bien remplies !
Quelque 150 familles ont répondu à l’invitation, qui avec ses grands frères, petits frères, grandes sœurs, petites sœurs, qui avec des grands-parents, ses cousins, ses taties, ou même ses voisins… Tous les joueurs étaient les bienvenus !

   

Que de beaux sourires !

   

Mais attention, tous ont « joué le jeu » : quelle ambiance dans les salles de classe 🙂

D’abord comprendre le jeu…

    

Trouver la bonne stratégie…

  

Observer son adversaire…

   

Rester concentré…

      

C’est sérieux !

On se réjouit de gagner mais on reste fair-play ! Cela fait du bien de s’amuser !

Merci à nos maîtres du jeux ! Nos plus grands commencent à être rodés ! Merci à tous les enseignants mais aussi à ceux qui ne sont plus dans l’école mais reviennent nous épauler, merci à Agnès, Mehdi, Daniel, Anne-Marie, Yacine et son équipe, les Disciples…

  

Merci aux parents qui se sont occupés des goûters : Menele de chez Olland (merci pour les brioches !) et chocolat chaud offert par le magasin Auchan notre voisin !

Et à tous nous disons : « au 8 mars pour la deuxième soirée jeux et préparez votre déguisement ! »